Napoléon (T.1) Le chant du départ - Max Gallo.
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'Quel roman que ma vie !'
- Napoléon Bonaparte -
De Gaulle (T.1) L'appel du destin.
De Gaulle (T.2) La solitude du combattant.
Révolution Française (T.1) Le peuple et le roi.
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'Quel roman que ma vie !'
- Napoléon Bonaparte -
De Gaulle (T.1) L'appel du destin.
De Gaulle (T.2) La solitude du combattant.
Révolution Française (T.1) Le peuple et le roi.
Quatrième de couverture :
Ce roman commence au printemps 1779, lorsqu'un enfant de dix ans, maigre et mal peigné, à l'accent rocailleux, est admis à l'école militaire de Brienne. Quinze ans plus tard, ce même enfant entre dans la légende. Bonaparte est nommé général en chef des armées d'Italie par le Directoire. La suite, c'est Vendémiaire, Lodi, Arcole, la campagne d'Egypte. Cet homme de génie, despotique et visionnaire, s'apprête à conquérir la France, l'Europe et le monde. Son destin impérial est tracé. Jamais plus il ne cessera d'inviter au rêve et de susciter la passion.
Mon avis :
Le visionnage du film d'Yves Simoneau avec Christian Clavier m'a donné envie de sortir ce livre de ma bibliothèque et de le lire, moi qui pourtant n'était pas d'humeur à lire quoique ce soit depuis quelques jours déjà. Le film, que je trouve plutôt très bon, est 'basé' sur la série 'Napoléon' de Max Gallo, mais même en ayant lu le premier tome, je ne vois aucune ressemblance, enfin passons.
Je n'étais pas trop d'humeur à lire, quand je lisais, je n'arrivais pas à continuer au-delà de cinq lignes, je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé... néanmoins, j'ai sorti et lu ce livre, et ce 'mal' est passé car j'étais vraiment avide de lire la suite. A un point où je trimballais ce livre partout où j'allais, la preuve est que maintenant, il est un peu abîmé, surtout qu'un de mes chats (le plus agressif en plus) l'a pris pour un jouet et s'est un peu défoullé dessus, et maintenant, il y a une belle petite marque de griffe sur le dessus de la couverture !
Enfin passons. Vous devez déjà savoir qu'entre moi et l'Histoire, c'est un peu une grande passion, je m'intéresse à tout en Histoire et comme j'ai du dire 'adieu' à cette matière quand j'ai quitté le lycée, je me suis intéressée aux livres d'histoires, aux romans historiques, ce qui m'a amené à connaître ceux de Max Gallo que je commençe à aimer. Depuis peu, je me suis rabattue sur l'époque de Napoléon Bonaparte et sur l'homme en lui-même, sans doute l'un des plus grands personnages de France (je ne dirais pas 'le', j'hésite avec De Gaulle et Louis XIV). C'était intéressant de se pencher sur ce 'personnage', et j'ai surtout aimer lire les chapitres basés sur son enfance, sa famille, sa chère Corse chérie et je me demandais comment diable un garçon aussi attaché à sa Corse natale, qui detestait avec passion les Français qui avaient battu et pris possession de cette île, ce Napoleone Buonaparte qui pensait, rêvait de sa Corse, ses merveilles, qui ne s'habituait pas à cette France grise, avec cette monarchie... comment diable a-t-il été amené à aimer cette France qui avait combattu les siens ? Comment s'était-il mis dans les affaires, pris part à cette révolution d'un pays qu'il a tant detesté, puis devenir son premier Consul, puis empereur ? J'ai donc vu son évolution, ses changements, les descriptions de la Corse, ce qui donne envie d'aller visiter cette île, son entrée à l'école militaire, ses retours entre deux chez sa famille. On 'voit' ses pensées, son caractère, sa culture, à quel point il aimait les oeuvres de Rousseau, par exemple, son envie d'une France qui change : plus de monarchie, abolition des privilèges, un pays plus libre de parler et de penser... des changements qui inquiètent les pays voisins qui n'hésitent pas à déclarer la guerre, des combats auxquels Napoléon va participer (bon, un peu moins enthousiaste quand c'était les chapitres des campagnes de guerre et toussa, j'ai pris plus longtemps à les lire)
Mais un agréable moment de lecture quand même, surtout que ce que je préfère dans les histoires de la vie d'une grande personne, c'est le début, les débuts de cette personne, en ce cas-là : Bonaparte. De petit garçon ne parlant pas un mot de français (la langue était italienne) qui arrive, en un peu moins de dix ans à être un grand général de l'armée française. Un petit peu l'ironie de la situation. Petit soucis à remarquer : comme je m'y connais un peu, j'ai sû reconnaître des personnages et savoir quelle fonction ils occupaient, quel rôle dans le destin de Napoléon, comme Murat ou Barras par exemple, mais à ceux qui ne savent pas, il y aurait peut-être un risque d'être perdu ? Mais sinon, on retrouve aussi des personnages connus : Robespierre, Joséphine de Beauharnais à qui Napoléon vouait un amour et une passion... ça se voit dans l'écriture et ses lettres, enfin, ça n'a pas empêché Joséphine de le faire le plus grand cocu de l'histoire à un moment.
Sinon, je dirais que l'auteur nous plonge au coeur même des pensées de Bonaparte, il y a des phrases qui marquent, qui portent, qui sont fortes. Pas forçément un homme sans reproche (possessif, jaloux, colérique, sanguinaire, dangereux) mais pas fonçièrement mauvais non plus, puis après tout, Max Gallo nous laisse faire notre propre opinion de Bonaparte, il reste quand même quelqu'un d'exceptionnel, avec un caractère et une force rare. Enfin bon, je ne sais pas si l'auteur s'est servi de son imagination pour nous peindre quelques traits de Napoléon ou pour raconter quelques élèments de sa vie, ou s'il s'est basé que sur du vrai, sur des archives historiques, toujours est-il que je trouve ce portrait plutôt fidèle alors que je ne m'étais pas si intéressée à Napoléon que ça avant. Ici, il est humain, on pourrait presque se sentir proche de lui... En conclusion : Un premier tome qui donne envie de lire la suite :)
Ce roman commence au printemps 1779, lorsqu'un enfant de dix ans, maigre et mal peigné, à l'accent rocailleux, est admis à l'école militaire de Brienne. Quinze ans plus tard, ce même enfant entre dans la légende. Bonaparte est nommé général en chef des armées d'Italie par le Directoire. La suite, c'est Vendémiaire, Lodi, Arcole, la campagne d'Egypte. Cet homme de génie, despotique et visionnaire, s'apprête à conquérir la France, l'Europe et le monde. Son destin impérial est tracé. Jamais plus il ne cessera d'inviter au rêve et de susciter la passion.
Mon avis :
Le visionnage du film d'Yves Simoneau avec Christian Clavier m'a donné envie de sortir ce livre de ma bibliothèque et de le lire, moi qui pourtant n'était pas d'humeur à lire quoique ce soit depuis quelques jours déjà. Le film, que je trouve plutôt très bon, est 'basé' sur la série 'Napoléon' de Max Gallo, mais même en ayant lu le premier tome, je ne vois aucune ressemblance, enfin passons.
Je n'étais pas trop d'humeur à lire, quand je lisais, je n'arrivais pas à continuer au-delà de cinq lignes, je ne sais pas si ça vous est déjà arrivé... néanmoins, j'ai sorti et lu ce livre, et ce 'mal' est passé car j'étais vraiment avide de lire la suite. A un point où je trimballais ce livre partout où j'allais, la preuve est que maintenant, il est un peu abîmé, surtout qu'un de mes chats (le plus agressif en plus) l'a pris pour un jouet et s'est un peu défoullé dessus, et maintenant, il y a une belle petite marque de griffe sur le dessus de la couverture !
Enfin passons. Vous devez déjà savoir qu'entre moi et l'Histoire, c'est un peu une grande passion, je m'intéresse à tout en Histoire et comme j'ai du dire 'adieu' à cette matière quand j'ai quitté le lycée, je me suis intéressée aux livres d'histoires, aux romans historiques, ce qui m'a amené à connaître ceux de Max Gallo que je commençe à aimer. Depuis peu, je me suis rabattue sur l'époque de Napoléon Bonaparte et sur l'homme en lui-même, sans doute l'un des plus grands personnages de France (je ne dirais pas 'le', j'hésite avec De Gaulle et Louis XIV). C'était intéressant de se pencher sur ce 'personnage', et j'ai surtout aimer lire les chapitres basés sur son enfance, sa famille, sa chère Corse chérie et je me demandais comment diable un garçon aussi attaché à sa Corse natale, qui detestait avec passion les Français qui avaient battu et pris possession de cette île, ce Napoleone Buonaparte qui pensait, rêvait de sa Corse, ses merveilles, qui ne s'habituait pas à cette France grise, avec cette monarchie... comment diable a-t-il été amené à aimer cette France qui avait combattu les siens ? Comment s'était-il mis dans les affaires, pris part à cette révolution d'un pays qu'il a tant detesté, puis devenir son premier Consul, puis empereur ? J'ai donc vu son évolution, ses changements, les descriptions de la Corse, ce qui donne envie d'aller visiter cette île, son entrée à l'école militaire, ses retours entre deux chez sa famille. On 'voit' ses pensées, son caractère, sa culture, à quel point il aimait les oeuvres de Rousseau, par exemple, son envie d'une France qui change : plus de monarchie, abolition des privilèges, un pays plus libre de parler et de penser... des changements qui inquiètent les pays voisins qui n'hésitent pas à déclarer la guerre, des combats auxquels Napoléon va participer (bon, un peu moins enthousiaste quand c'était les chapitres des campagnes de guerre et toussa, j'ai pris plus longtemps à les lire)
Mais un agréable moment de lecture quand même, surtout que ce que je préfère dans les histoires de la vie d'une grande personne, c'est le début, les débuts de cette personne, en ce cas-là : Bonaparte. De petit garçon ne parlant pas un mot de français (la langue était italienne) qui arrive, en un peu moins de dix ans à être un grand général de l'armée française. Un petit peu l'ironie de la situation. Petit soucis à remarquer : comme je m'y connais un peu, j'ai sû reconnaître des personnages et savoir quelle fonction ils occupaient, quel rôle dans le destin de Napoléon, comme Murat ou Barras par exemple, mais à ceux qui ne savent pas, il y aurait peut-être un risque d'être perdu ? Mais sinon, on retrouve aussi des personnages connus : Robespierre, Joséphine de Beauharnais à qui Napoléon vouait un amour et une passion... ça se voit dans l'écriture et ses lettres, enfin, ça n'a pas empêché Joséphine de le faire le plus grand cocu de l'histoire à un moment.
Sinon, je dirais que l'auteur nous plonge au coeur même des pensées de Bonaparte, il y a des phrases qui marquent, qui portent, qui sont fortes. Pas forçément un homme sans reproche (possessif, jaloux, colérique, sanguinaire, dangereux) mais pas fonçièrement mauvais non plus, puis après tout, Max Gallo nous laisse faire notre propre opinion de Bonaparte, il reste quand même quelqu'un d'exceptionnel, avec un caractère et une force rare. Enfin bon, je ne sais pas si l'auteur s'est servi de son imagination pour nous peindre quelques traits de Napoléon ou pour raconter quelques élèments de sa vie, ou s'il s'est basé que sur du vrai, sur des archives historiques, toujours est-il que je trouve ce portrait plutôt fidèle alors que je ne m'étais pas si intéressée à Napoléon que ça avant. Ici, il est humain, on pourrait presque se sentir proche de lui... En conclusion : Un premier tome qui donne envie de lire la suite :)
Napoléon Bonaparte dans ses jeunes années...
Extrait :
Ecrire à Joséphine, exprimer cette passion amoureuse, c'est ne pas être seul, c'est oublier, le temps de l'écriture, la guerre. Comme si brusquement n'existait pour lui que cette femme, cet amour. (...) Il se sent mieux d'avoir ainsi pour quelques minutes seulement parlé de ses sentiments, de n'avoir engagé que lui-même, comme s'il n'était en effet qu'un jeune homme qui n'a pas encore fêté, le 15 août 1796, ses vingt-sept ans.
24. Sixième partie.
Ecrire à Joséphine, exprimer cette passion amoureuse, c'est ne pas être seul, c'est oublier, le temps de l'écriture, la guerre. Comme si brusquement n'existait pour lui que cette femme, cet amour. (...) Il se sent mieux d'avoir ainsi pour quelques minutes seulement parlé de ses sentiments, de n'avoir engagé que lui-même, comme s'il n'était en effet qu'un jeune homme qui n'a pas encore fêté, le 15 août 1796, ses vingt-sept ans.
24. Sixième partie.
(Ouioui je n'ai rien dit d'intéressant !)