Quatrains et autres poèmes brefs - Emily Dickinson.
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L'auteur :
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L'auteur :
Emily Elizabeth Dickinson (10 décembre 1830 - 15 mai 1886), est une poétesse américaine. Bien qu'ayant beaucoup écrit de son vivant, la plus grande partie de son oeuvre fut publiée après sa mort lorsque sa soeur découvrit sa cachette d'oeuvres.
Présentation :
Classés par année d'écriture, allant de 1858 à 1886 (à la veille de sa mort), en passant par des poèmes sans date, les poèmes de ce recueil ont un point en commun, la fougue créatrice d'Emily Dickinson. Elle est l'auteur d'une oeuvre poétique novatrice, où les codes de la versification et du poème classique ne sont pas respectés. Où les majuscules se trouvent en plein milieu du vers, traits d'unions se baladant par ci par là. C'est d'ailleurs ce qui la fera méconnaître de son vivant et encore un siècle après sa mort. On la cantonna d'abord au charmant rôle de poétesse éprise de la nature, amoureuse et calme. Alors qu'on éluda toute la violence, l'âpreté et les passions qui la soulevèrent bien au-dessus de son temps.
C'est donc une oeuvre bigarrée, jamais la même, jamais unifiée, que nous présente aujourd'hui la traductrice, nous laissant le soin d'admirer le talent de cette femme qui révolutionna la poésie moderne.
Résumé emprunté ici. (Mea Culpa, il n'y avait pas de quatrième de couverture pour ce livre)
Mon avis :
J'avais déjà dit que je n'étais pas une grande fan de poésie, cependant, en lire de temps en temps ne fait pas de mal, ça peut même être agréable de s'arrêter lire quelques poèmes de temps en temps (par ailleurs, allez donc lire ceux d'Autres Rimes, ils sont très jolis !), après Monsieur Baudelaire, et quelques poèmes de la plume de quelques Résistants français de la WWII, j'ai lu il y a peu ceux d'Emily Dickinson, et sa poésie est différente de celles que j'ai pu lire (ce qui fait peu, en somme), mais je me suis surprise à aimer certains poèmes. Je n'ai pas aimé ni compris tous les poèmes, mais certains quatrains valent la peine d'être lus, ils sont si brefs, si courts mais toute la magie réside dans la beauté des mots. Et nous avons même la possibilité de lire les quatrains en français mais aussi en anglais, on peut lire les mots de l'auteur, dans sa langue et ça rend la lecture des quatrains encore plus belle. 1+ pour l'édition bilingue donc. J'ai parfois trouvé des poèmes insignifiants, d'autres pas, d'autres où l'auteur nous parlait de choses vraies, qu'on sait mais rendues belles sur le papier, dans ces quatrains. J'ai trouvé que certains collaient plutôt bien avec d'autres livres (roman, théâtre...) que j'avais lu ou des musiques/chansons que j'ai écouté, et ça a renforçé toute la beauté du texte. C'est vraiment un joli recueil, dommage que je ne puisse en dire plus, j'ai bien du mal à donner un avis concret sur de la poésie, peut-être parce que j'en lis moins par rapport aux romans, où que les études d'oeuvres en cours sont surtout des études de romans classiques et pas de poésie...
Extrait :
Witchcraft was hung, in History,
But History and I
Find all the Witchcraft that we need
Around us, Every Day -
~
On a pendu les Sorcières, dans l'Histoire,
Mais l'Histoire et moi
Trouvons toute la Sorcellerie nécessaire
Autour de nous, Chaque jour -
IV. 1876-1886.
Classés par année d'écriture, allant de 1858 à 1886 (à la veille de sa mort), en passant par des poèmes sans date, les poèmes de ce recueil ont un point en commun, la fougue créatrice d'Emily Dickinson. Elle est l'auteur d'une oeuvre poétique novatrice, où les codes de la versification et du poème classique ne sont pas respectés. Où les majuscules se trouvent en plein milieu du vers, traits d'unions se baladant par ci par là. C'est d'ailleurs ce qui la fera méconnaître de son vivant et encore un siècle après sa mort. On la cantonna d'abord au charmant rôle de poétesse éprise de la nature, amoureuse et calme. Alors qu'on éluda toute la violence, l'âpreté et les passions qui la soulevèrent bien au-dessus de son temps.
C'est donc une oeuvre bigarrée, jamais la même, jamais unifiée, que nous présente aujourd'hui la traductrice, nous laissant le soin d'admirer le talent de cette femme qui révolutionna la poésie moderne.
Résumé emprunté ici. (Mea Culpa, il n'y avait pas de quatrième de couverture pour ce livre)
Mon avis :
J'avais déjà dit que je n'étais pas une grande fan de poésie, cependant, en lire de temps en temps ne fait pas de mal, ça peut même être agréable de s'arrêter lire quelques poèmes de temps en temps (par ailleurs, allez donc lire ceux d'Autres Rimes, ils sont très jolis !), après Monsieur Baudelaire, et quelques poèmes de la plume de quelques Résistants français de la WWII, j'ai lu il y a peu ceux d'Emily Dickinson, et sa poésie est différente de celles que j'ai pu lire (ce qui fait peu, en somme), mais je me suis surprise à aimer certains poèmes. Je n'ai pas aimé ni compris tous les poèmes, mais certains quatrains valent la peine d'être lus, ils sont si brefs, si courts mais toute la magie réside dans la beauté des mots. Et nous avons même la possibilité de lire les quatrains en français mais aussi en anglais, on peut lire les mots de l'auteur, dans sa langue et ça rend la lecture des quatrains encore plus belle. 1+ pour l'édition bilingue donc. J'ai parfois trouvé des poèmes insignifiants, d'autres pas, d'autres où l'auteur nous parlait de choses vraies, qu'on sait mais rendues belles sur le papier, dans ces quatrains. J'ai trouvé que certains collaient plutôt bien avec d'autres livres (roman, théâtre...) que j'avais lu ou des musiques/chansons que j'ai écouté, et ça a renforçé toute la beauté du texte. C'est vraiment un joli recueil, dommage que je ne puisse en dire plus, j'ai bien du mal à donner un avis concret sur de la poésie, peut-être parce que j'en lis moins par rapport aux romans, où que les études d'oeuvres en cours sont surtout des études de romans classiques et pas de poésie...
Extrait :
Witchcraft was hung, in History,
But History and I
Find all the Witchcraft that we need
Around us, Every Day -
~
On a pendu les Sorcières, dans l'Histoire,
Mais l'Histoire et moi
Trouvons toute la Sorcellerie nécessaire
Autour de nous, Chaque jour -
IV. 1876-1886.
je ne connais pas Emily Dickinson, mais je prend note pour aller découvrir ses créations.Merci pour ton commentaire sur mon blog et c'est très gentil d'avoir glissé quelques mots sur moi dans ton article,c'est sympa,merci bien. Te souhaitant un bon w end,bises et A+ d' Emmanuel