L'aventure des sept horloges - Adrian Conan Doyle.
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L'auteur :
Adrian Malcolm Conan Doyle, (19 novembre 1910 - 3 juin 1970), est le plus jeune fils de l'écrivain Sir Arthur Conan Doyle. Avec le biographe de son père, John Dickson Carr, il a repris l'écriture des aventures du célèbre détective Sherlock Holmes dans le receuil Les Exploits de Sherlock Holmes.
Emprunt médiathèque.
Emprunt médiathèque.
Quatrième de couverture :
Pourquoi la jolie Celia a-t-elle pris rendez-vous avec Sherlock Holmes ? L'homme dont elle est amoureuse la terrifie ! Au moindre tic-tac, le voilà qui brandit sa canne et l'assène violemment sur la pendule la plus proche. Il faudra toute la perspicacité du plus grand des détectives pour comprendre la raison de ce geste fou.
Mon avis :
Je suis tombée sur ce livre un peu au hasard à la médiathèque alors que je recherchais des livres à emprunter pour le challenge Histoire, et quand j'ai vu le titre d'une histoire que je ne connaissais pas avec le nom Conan Doyle, j'ai sauté dessus. Ce n'était pas Arthur Conan Doyle mais Adrian Conan Doyle, son fils cadet, qui avait décidé d'écrire quelques aventures du personnage de son père, et L'aventure des sept horloges fut l'une d'elles. Maintenant, j'aimerais trouver le recueil Les Exploits de Sherlock Holmes où il aurait écrit, avec le biographe de son père, d'autres nouvelles Sherlock Holmes car même si cette nouvelle était trop courte, trop simple (bon en même temps, c'est un livre jeunesse), je suis restée sur ma faim et j'ai trouvé l'univers et les personnages plutôt fidèles (un Watson plutôt lent à comprendre parfois, mais un bon Watson quand j'y repense, j'ai lu pire de toute façon), bref, j'ai bien aimé dans l'ensemble même si la briéveté du texte ne me donne pas l'occasion d'avoir un avis complet, j'attends de pouvoir trouver (si je trouve un jour) le recueil complet car j'ai presque eu l'impression de retrouver les nouvelles de Doyle senior, c'était plutôt bon, court mais bon. Un peu déçue qu'il n'y ai pas beaucoup d'action mais bon. Holmes est là, Watson est là, le mystère est là.
Un policier jeunesse plutôt divertissant, facile à comprendre et à lire donc facilement abordable pour tous, le mystère est bon, les personnages aussi : un bon Watson pas complètement idiot, en parfait conducteur de lumière (d'après les termes de Holmes), fidèle... un bon Holmes avec ses répliques piquantes. Bref, une sympathique lecture avec une enquête, un mystère qui tient la route, je regrette juste la briéveté du texte et le manque d'action (et l'erreur de traduction : pour la femme de Watson, c'est Mary, pas Marie, enfin passons), mais sinon j'ai bien aimé et ça m'encourage à vouloir lire et trouver le faleux recueil, histoire de me faire un avis complet sur l'oeuvre du fils, découvrir Holmes sous son point de vue et toussa. Bref, une agréable découverte.
Extrait :
- Mon cher Watson, répondit-il [Holmes], je commençe à craindre que, depuis la fameuse affaire Blessington, la vie ne soit devenue aussi morne que la plaine la plus plate.
- Et pourtant, lui rétorquai-je, cette année n'a-t-elle pas été celle de cas mémorables ? Vous êtes surexcité, mon cher ami.
- Ma parole, Watson, vous êtes bien le dernier à pouvoir me faire la leçon à ce sujet. Hier au soir, après que j'ai pris le risque de vous offrir une bouteille de vin de Beaune au souper, vous avez disserté si interminablement sur les joies du mariage que j'ai craint que vous n'en finissiez jamais.
- Allons, mon cher ami ! Suggérez-vous que le vin m'avait échauffé ?
Il me regarda de cette façon singulière qui n'appartient qu'à lui.
- Le vin, non, peut-être pas, dit-il. Enfin, passons !
Pourquoi la jolie Celia a-t-elle pris rendez-vous avec Sherlock Holmes ? L'homme dont elle est amoureuse la terrifie ! Au moindre tic-tac, le voilà qui brandit sa canne et l'assène violemment sur la pendule la plus proche. Il faudra toute la perspicacité du plus grand des détectives pour comprendre la raison de ce geste fou.
Mon avis :
Je suis tombée sur ce livre un peu au hasard à la médiathèque alors que je recherchais des livres à emprunter pour le challenge Histoire, et quand j'ai vu le titre d'une histoire que je ne connaissais pas avec le nom Conan Doyle, j'ai sauté dessus. Ce n'était pas Arthur Conan Doyle mais Adrian Conan Doyle, son fils cadet, qui avait décidé d'écrire quelques aventures du personnage de son père, et L'aventure des sept horloges fut l'une d'elles. Maintenant, j'aimerais trouver le recueil Les Exploits de Sherlock Holmes où il aurait écrit, avec le biographe de son père, d'autres nouvelles Sherlock Holmes car même si cette nouvelle était trop courte, trop simple (bon en même temps, c'est un livre jeunesse), je suis restée sur ma faim et j'ai trouvé l'univers et les personnages plutôt fidèles (un Watson plutôt lent à comprendre parfois, mais un bon Watson quand j'y repense, j'ai lu pire de toute façon), bref, j'ai bien aimé dans l'ensemble même si la briéveté du texte ne me donne pas l'occasion d'avoir un avis complet, j'attends de pouvoir trouver (si je trouve un jour) le recueil complet car j'ai presque eu l'impression de retrouver les nouvelles de Doyle senior, c'était plutôt bon, court mais bon. Un peu déçue qu'il n'y ai pas beaucoup d'action mais bon. Holmes est là, Watson est là, le mystère est là.
Un policier jeunesse plutôt divertissant, facile à comprendre et à lire donc facilement abordable pour tous, le mystère est bon, les personnages aussi : un bon Watson pas complètement idiot, en parfait conducteur de lumière (d'après les termes de Holmes), fidèle... un bon Holmes avec ses répliques piquantes. Bref, une sympathique lecture avec une enquête, un mystère qui tient la route, je regrette juste la briéveté du texte et le manque d'action (et l'erreur de traduction : pour la femme de Watson, c'est Mary, pas Marie, enfin passons), mais sinon j'ai bien aimé et ça m'encourage à vouloir lire et trouver le faleux recueil, histoire de me faire un avis complet sur l'oeuvre du fils, découvrir Holmes sous son point de vue et toussa. Bref, une agréable découverte.
Extrait :
- Mon cher Watson, répondit-il [Holmes], je commençe à craindre que, depuis la fameuse affaire Blessington, la vie ne soit devenue aussi morne que la plaine la plus plate.
- Et pourtant, lui rétorquai-je, cette année n'a-t-elle pas été celle de cas mémorables ? Vous êtes surexcité, mon cher ami.
- Ma parole, Watson, vous êtes bien le dernier à pouvoir me faire la leçon à ce sujet. Hier au soir, après que j'ai pris le risque de vous offrir une bouteille de vin de Beaune au souper, vous avez disserté si interminablement sur les joies du mariage que j'ai craint que vous n'en finissiez jamais.
- Allons, mon cher ami ! Suggérez-vous que le vin m'avait échauffé ?
Il me regarda de cette façon singulière qui n'appartient qu'à lui.
- Le vin, non, peut-être pas, dit-il. Enfin, passons !
Mon papa l'a lu et m'a dit que c'était bien fait (je teste sur lui mes nouveaux achats holmésiens), alors je le remet en tête de ma liste de livres holmésiens à lire.
PS / Tu vas lire Watson et Holmes de June Thompson maintenant ?