Alice au Pays des Merveilles - Lewis Carroll.
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'We're all mad here...'
- Chesire Cat -
L'auteur :
Lewis Carroll, de son vrai nom Charles Lutwidge Dodgson, (27 janvier 1832 - 14 janvier 1898), était un écrivain, photographe et mathématicien britannique.
Il connu la célébrité grâce à ses oeuvres mettant en scène la petite Alice, du pays des Merveilles...
Lecture en ligne ici.
Quatrième de couverture : Quand le Lapin sortit une montre de son gousset, la regarda et reprit sa course, Alice se leva d'un bond car, en un éclair, elle réalisa qu'elle n'avait jamais vu un lapin avec un gousset et une montre à en sortir. Dévorée de curiosité, elle le suivit à travers champs, et eut juste le temps de le voir s'engouffrer dans un vaste terrier sous la haie. "
Pourquoi Alice s'étonnerait-elle alors de rencontrer chemin faisant une Reine de Cœur, un Griffon, un Chapelier, un Lièvre de Mars ou de prendre le thé chez les fous ? C'est au pays des merveilles que l'a entraînée le lapin blanc, un pays où elle ne cesse de changer de taille, et où tout peut arriver. Un pays que Lewis Carroll met en scène avec une rigueur impeccable dans la loufoquerie. Loin de la mièvrerie du conte enfantin, cette nouvelle traduction restitue au texte anglais toute sa verdeur mathématique.
Mon résumé : Un jour, Alice s'ennuyait, fatiguée d'être assise à ne rien faire, ne s'interessant pas au livre que lisait sa soeur car il ne comportait ni images ni dialogues. Dans son ennui, elle est stupéfaite de remarquer un lapin blanc avec une montre à gousset, s'écriant qu'il était en retard. Un lapin blanc qui parle, qui porte des habits et qui se dit en retard pour quelque chose, cela suffit pour une Alice dévorée par la curiosité de suivre le lapin blanc jusque dans le vaste terrier où il disparaît et qui mène dans le plus incroyable des mondes... un monde qui ne cesse de changer, un monde pour le moins étrange, un monde aux habitants bizarres et originaux... le pays des Merveilles !
Mon avis : Lu juste après Peter Pan, parce que j'étais nostalgique des histoires qui ont berçé mon enfance, pas inquiète du fait que ma mère me demandait si je n'étais pas retombée en enfance, lol. Il n'y a pas d'âge pour relire de vieux contes.
C'est un très grand classique que l'on doit lire au moins une fois dans sa vie, ça peut se lire à tout âge, je pense que le monde étrange et enchanteur de Lewis Carroll saura enchanter petits et grands. En plus, le livre et les chapitres sont courts et bref, donc ça passe très bien pour la lecture, le style de l'auteur est abordable pour tous, rempli d'humour et de 'private jokes' entre lui et les enfants/lecteurs.
C'est un conte agréable à lire, une histoire terriblement originale, avec des reflexions drôles et même absurbes, avec des jeux de mots (plus visibles dans la VO, parait-il), avec des élèments franchement drôles et originaux. Un conte qui nous remettent en question, mais pour savoir de quoi, je vous laisse lire le roman. C'est un univers dense libre à de nombreuses interprétations.
Une fabuleuse façon de retomber en enfance, un conte drôle et moqueur sur la société anglaise de l'époque, un monde loufoque et fascinant, de même pour les personnages, des personnages plutôt effrayants pour certains, égoïstes ou avec un petit quelque chose d'angoissant, c'est d'ailleurs un monde angoissant, gouverné par l'illogisme, l'incompréhension et le 'désordre', mais un monde pourtant intéressant, fascinant. Pour Alice... bon, j'avoue que parfois, elle peut- être agaçante, mais je l'aime bien quand même, et ouis, avouons-le : on aurait réagis comme elle à sa place.
En tout cas, c'était une histoire joliment racontée, et on dit "bravo" à Lewis Carroll pour son imagination, l'originalité de son monde loufoque !
[Edit 02/10] Je l'étudie en ce moment en Littérature de Jeunesse, et je dois avouer que c'est vraiment intéressant. Une histoire écrite pour une enfant en particulier, Alice Lidell, pour son anniversaire par un homme qui préférait la compagnie des enfants à celle des adultes qu'il craignait.
Extrait : Cela n'avait rien de si extraordinaire ; Alice ne trouva pas non plus si étrange de l'entendre (le lapin) parler tout seul : "Oh ! la la ! Oh ! la la ! je vais être en retard !" (lorsqu'elle y repensa, après coup, elle se dit qu'elle aurait dû s'en étonner, mais sur le moment, cela lui paru tout à fait naturel) ; mais quand le Lapin sortit une montre de son gousset, la regarda et reprit sa course, Alice se leva d'un bond, car, en un éclair, elle réalisa qu'elle n'avait jamais vu un lapin avec un gousset et une montre à en sortir. Dévorée de curiosité, elle le suivit à travers champs et eut juste le temps de le voir s'engouffrer dans un vaste terrier sous la haie."
Chapitre I. Dans le terrier du Lapin.
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'We're all mad here...'
- Chesire Cat -
L'auteur :
Lewis Carroll, de son vrai nom Charles Lutwidge Dodgson, (27 janvier 1832 - 14 janvier 1898), était un écrivain, photographe et mathématicien britannique.
Il connu la célébrité grâce à ses oeuvres mettant en scène la petite Alice, du pays des Merveilles...
Lecture en ligne ici.
Quatrième de couverture : Quand le Lapin sortit une montre de son gousset, la regarda et reprit sa course, Alice se leva d'un bond car, en un éclair, elle réalisa qu'elle n'avait jamais vu un lapin avec un gousset et une montre à en sortir. Dévorée de curiosité, elle le suivit à travers champs, et eut juste le temps de le voir s'engouffrer dans un vaste terrier sous la haie. "
Pourquoi Alice s'étonnerait-elle alors de rencontrer chemin faisant une Reine de Cœur, un Griffon, un Chapelier, un Lièvre de Mars ou de prendre le thé chez les fous ? C'est au pays des merveilles que l'a entraînée le lapin blanc, un pays où elle ne cesse de changer de taille, et où tout peut arriver. Un pays que Lewis Carroll met en scène avec une rigueur impeccable dans la loufoquerie. Loin de la mièvrerie du conte enfantin, cette nouvelle traduction restitue au texte anglais toute sa verdeur mathématique.
Mon résumé : Un jour, Alice s'ennuyait, fatiguée d'être assise à ne rien faire, ne s'interessant pas au livre que lisait sa soeur car il ne comportait ni images ni dialogues. Dans son ennui, elle est stupéfaite de remarquer un lapin blanc avec une montre à gousset, s'écriant qu'il était en retard. Un lapin blanc qui parle, qui porte des habits et qui se dit en retard pour quelque chose, cela suffit pour une Alice dévorée par la curiosité de suivre le lapin blanc jusque dans le vaste terrier où il disparaît et qui mène dans le plus incroyable des mondes... un monde qui ne cesse de changer, un monde pour le moins étrange, un monde aux habitants bizarres et originaux... le pays des Merveilles !
Mon avis : Lu juste après Peter Pan, parce que j'étais nostalgique des histoires qui ont berçé mon enfance, pas inquiète du fait que ma mère me demandait si je n'étais pas retombée en enfance, lol. Il n'y a pas d'âge pour relire de vieux contes.
C'est un très grand classique que l'on doit lire au moins une fois dans sa vie, ça peut se lire à tout âge, je pense que le monde étrange et enchanteur de Lewis Carroll saura enchanter petits et grands. En plus, le livre et les chapitres sont courts et bref, donc ça passe très bien pour la lecture, le style de l'auteur est abordable pour tous, rempli d'humour et de 'private jokes' entre lui et les enfants/lecteurs.
C'est un conte agréable à lire, une histoire terriblement originale, avec des reflexions drôles et même absurbes, avec des jeux de mots (plus visibles dans la VO, parait-il), avec des élèments franchement drôles et originaux. Un conte qui nous remettent en question, mais pour savoir de quoi, je vous laisse lire le roman. C'est un univers dense libre à de nombreuses interprétations.
Une fabuleuse façon de retomber en enfance, un conte drôle et moqueur sur la société anglaise de l'époque, un monde loufoque et fascinant, de même pour les personnages, des personnages plutôt effrayants pour certains, égoïstes ou avec un petit quelque chose d'angoissant, c'est d'ailleurs un monde angoissant, gouverné par l'illogisme, l'incompréhension et le 'désordre', mais un monde pourtant intéressant, fascinant. Pour Alice... bon, j'avoue que parfois, elle peut- être agaçante, mais je l'aime bien quand même, et ouis, avouons-le : on aurait réagis comme elle à sa place.
En tout cas, c'était une histoire joliment racontée, et on dit "bravo" à Lewis Carroll pour son imagination, l'originalité de son monde loufoque !
[Edit 02/10] Je l'étudie en ce moment en Littérature de Jeunesse, et je dois avouer que c'est vraiment intéressant. Une histoire écrite pour une enfant en particulier, Alice Lidell, pour son anniversaire par un homme qui préférait la compagnie des enfants à celle des adultes qu'il craignait.
Extrait : Cela n'avait rien de si extraordinaire ; Alice ne trouva pas non plus si étrange de l'entendre (le lapin) parler tout seul : "Oh ! la la ! Oh ! la la ! je vais être en retard !" (lorsqu'elle y repensa, après coup, elle se dit qu'elle aurait dû s'en étonner, mais sur le moment, cela lui paru tout à fait naturel) ; mais quand le Lapin sortit une montre de son gousset, la regarda et reprit sa course, Alice se leva d'un bond, car, en un éclair, elle réalisa qu'elle n'avait jamais vu un lapin avec un gousset et une montre à en sortir. Dévorée de curiosité, elle le suivit à travers champs et eut juste le temps de le voir s'engouffrer dans un vaste terrier sous la haie."
Chapitre I. Dans le terrier du Lapin.