Sex and the City - Candace Bushnell.
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'Carrie Bradshaw knows good sex... and she's not afraid to ask !'
L'auteur :
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'Carrie Bradshaw knows good sex... and she's not afraid to ask !'
L'auteur :
Candace Bushnell, née en 1958, est une romancière et journaliste américaine, particulièrement connue pour être l'auteur de Sex and the City, le livre qui a inspiré la série à succès puis le film du même nom, qui fut, avant d'être adapté en roman, des chroniques sur le sexe et les relations amoureuses publiées dans le New York Observer.
Quatrième de couverture :
Elles sont journalistes, marchandes d'art, avocates, responsables des relations publiques. Elles ont tout pour plaire : jeunes, jolies, brillantes, sexy, indépendantes. Tout, sauf ce qu'elles cherchent désespérément : le partenaire idéal. Dans la jungle new-yorkaise, les places au soleil sont chères, Sex and the City en témoigne. Devenue un livre-culte avant d'inspirer une série télévisée, cette chronique à la fois hilarante et terrifiante des moeurs amoureuses et sexuelles de l'élite de Manhattan met l'Amérique WASP en émoi. Il est vrai que Candace Bushnell, journaliste branchée du New York Observer, n'hésite pas à bousculer le " sexuellement correct " de rigueur, en narrant en toute impudeur les aventures de ses contemporaines, leurs états d'âme et leurs frasques sexuelles. Ou du moins, ce qu'il en reste... Bienvenue dans l'ère de l'innocence perdue : un regard lucide et impitoyable sur une société qui fout décidément le camp.
Mon avis :
Mouais... je suis assez mitigée.
Les choses sont claires : le livre n'a rien à avoir avec la série tv, qui s'est plutôt adaptée à deux, trois anecdotes et à l'esprit en général de cette chroniqueuse new-yorkaise, il faut vite éloigner les souvenirs de la série, sous peine d'une grave frustration ! M'enfin, c'est quand même une lecture agréable, il y a eu des passages plus ou moins biens, d'autres longs et ennuyeux, d'autres amusants... mais à celles qui aiment vraiment la série, ne pas s'attendre à lire ce livre et rencontrer Carrie Bradshaw - la chroniqueuse -, Miranda Hobbes - l'avocate terre à terre - , Samantha Jones - la businesswoman nymphomane - et Charlotte Yorks - galleriste fleur bleue. Enfin, il y a bien une Carrie (amie de la narratrice) qui est écrivain, une Miranda qui travaille pour le cinéma et une Sam Jones qui déjà dans la fleur de l'âge, un Stanford et Le Boss qui ressemble beaucoup à Mister Big. On retrouve des élèments qui sont dans la série. En fait, Candace Bushnell parle de ses amis et de ses rencontres (n'oubliant pas que ce sont de réelles chroniques, et quelques noms ont été modifiés dans les articles). Ce roman est comme l'équivalent du livre que publie Carrie dans la saison cinq de Sex and the City sauf qu'ici la chroniqueuse n'est pas Carrie bien qu'elle soit l'un des personnages principaux. Mais les personnages de la série et du livre n'ont pas le même tempérament, pas le même caractère... même si parfois j'ai reconnu dans certaines chroniques la trame de quelques épisodes de la série.
Mais franchement, j'ai trouvé la lecture longue, quelques passages sans interêts et assez ennuyeux, mais il n'y a pas que des passages ennuyeux, beaucoup d'entre eux sont très bons et franchement drôles, alors ce n'est pas si terrible que ça. On trouve une pléade de nouveaux personnages en dehors de Carrie, Miranda, Samantha et Charlotte qui nous offrent une vision originale de New-York et de ses moeurs. Le livre, bien que cru par moments à causes de certaines reférences sexuelles, est lèger, divertissant et original. J'ai pris plaisir à suivre la relation entre Carrie et le Boss (qui ressemble au Mister Big de la série). Un seul bémol cependant : le livre perd un peu dans la traduction car certaines expressions purement américaines sont intraduisibles en français et tombent à plat >_< Et il y a un tel pessimisme sur les relations amoureuses, j'avoue moi-même être pessimiste sur les bons garçons à trouver ou qu'une relation amoureuse parfaite existe, mais ici c'est assez effrayant, à croire que chaque histoire d'amour est vouée à l'échec. Le sexe a laissé place à l'amour. Cupidon a baissé les bras ! Il y a un ton plutôt cynique par moment dans un monde désenchanté, dans la jungle de Manhattan, néanmoins il y a eu des articles originaux et drôles, divertissants, frais.
Extrait :
Carrie a déjà rencontré le Boss, mais elle ne pense pas qu'il se souviendra d'elle. Elle était dans le bureau où il lui arrive parfois de travailler, et elle se faisait interviewer par "Inside Edition" à propos d'un article qu'elle avait écrit sur les Chihuahuas, quand le Boss est entré et s'était mis à raconter au cameraman que les Chihuahuas, il y en avait plein Paris. Carrie s'était penchée en avant pour relacer sa bottine.
A la soirée, donc, elle trouve le Boss assis sur un radiateur dans la salle de séjour. "Bonsoir, lui dit-elle, vous vous souvenez de moi ?" Elle lit dans ses yeux qu'il ne sait absolument pas qui elle est, et elle se demande s'il ne va pas prendre la tangente.
Il roule son cigare entre ses lèvres et finit par le sortir de sa bouche. Il se détourne pour faire tomber ses cendres, puis la regarde de nouveau. "Un peu, que je me souviens de vous."
Chapitre 6. Séduction à New York : amoureuse du Boss.
Quatrième de couverture :
Elles sont journalistes, marchandes d'art, avocates, responsables des relations publiques. Elles ont tout pour plaire : jeunes, jolies, brillantes, sexy, indépendantes. Tout, sauf ce qu'elles cherchent désespérément : le partenaire idéal. Dans la jungle new-yorkaise, les places au soleil sont chères, Sex and the City en témoigne. Devenue un livre-culte avant d'inspirer une série télévisée, cette chronique à la fois hilarante et terrifiante des moeurs amoureuses et sexuelles de l'élite de Manhattan met l'Amérique WASP en émoi. Il est vrai que Candace Bushnell, journaliste branchée du New York Observer, n'hésite pas à bousculer le " sexuellement correct " de rigueur, en narrant en toute impudeur les aventures de ses contemporaines, leurs états d'âme et leurs frasques sexuelles. Ou du moins, ce qu'il en reste... Bienvenue dans l'ère de l'innocence perdue : un regard lucide et impitoyable sur une société qui fout décidément le camp.
Mon avis :
Mouais... je suis assez mitigée.
Les choses sont claires : le livre n'a rien à avoir avec la série tv, qui s'est plutôt adaptée à deux, trois anecdotes et à l'esprit en général de cette chroniqueuse new-yorkaise, il faut vite éloigner les souvenirs de la série, sous peine d'une grave frustration ! M'enfin, c'est quand même une lecture agréable, il y a eu des passages plus ou moins biens, d'autres longs et ennuyeux, d'autres amusants... mais à celles qui aiment vraiment la série, ne pas s'attendre à lire ce livre et rencontrer Carrie Bradshaw - la chroniqueuse -, Miranda Hobbes - l'avocate terre à terre - , Samantha Jones - la businesswoman nymphomane - et Charlotte Yorks - galleriste fleur bleue. Enfin, il y a bien une Carrie (amie de la narratrice) qui est écrivain, une Miranda qui travaille pour le cinéma et une Sam Jones qui déjà dans la fleur de l'âge, un Stanford et Le Boss qui ressemble beaucoup à Mister Big. On retrouve des élèments qui sont dans la série. En fait, Candace Bushnell parle de ses amis et de ses rencontres (n'oubliant pas que ce sont de réelles chroniques, et quelques noms ont été modifiés dans les articles). Ce roman est comme l'équivalent du livre que publie Carrie dans la saison cinq de Sex and the City sauf qu'ici la chroniqueuse n'est pas Carrie bien qu'elle soit l'un des personnages principaux. Mais les personnages de la série et du livre n'ont pas le même tempérament, pas le même caractère... même si parfois j'ai reconnu dans certaines chroniques la trame de quelques épisodes de la série.
Mais franchement, j'ai trouvé la lecture longue, quelques passages sans interêts et assez ennuyeux, mais il n'y a pas que des passages ennuyeux, beaucoup d'entre eux sont très bons et franchement drôles, alors ce n'est pas si terrible que ça. On trouve une pléade de nouveaux personnages en dehors de Carrie, Miranda, Samantha et Charlotte qui nous offrent une vision originale de New-York et de ses moeurs. Le livre, bien que cru par moments à causes de certaines reférences sexuelles, est lèger, divertissant et original. J'ai pris plaisir à suivre la relation entre Carrie et le Boss (qui ressemble au Mister Big de la série). Un seul bémol cependant : le livre perd un peu dans la traduction car certaines expressions purement américaines sont intraduisibles en français et tombent à plat >_< Et il y a un tel pessimisme sur les relations amoureuses, j'avoue moi-même être pessimiste sur les bons garçons à trouver ou qu'une relation amoureuse parfaite existe, mais ici c'est assez effrayant, à croire que chaque histoire d'amour est vouée à l'échec. Le sexe a laissé place à l'amour. Cupidon a baissé les bras ! Il y a un ton plutôt cynique par moment dans un monde désenchanté, dans la jungle de Manhattan, néanmoins il y a eu des articles originaux et drôles, divertissants, frais.
Extrait :
Carrie a déjà rencontré le Boss, mais elle ne pense pas qu'il se souviendra d'elle. Elle était dans le bureau où il lui arrive parfois de travailler, et elle se faisait interviewer par "Inside Edition" à propos d'un article qu'elle avait écrit sur les Chihuahuas, quand le Boss est entré et s'était mis à raconter au cameraman que les Chihuahuas, il y en avait plein Paris. Carrie s'était penchée en avant pour relacer sa bottine.
A la soirée, donc, elle trouve le Boss assis sur un radiateur dans la salle de séjour. "Bonsoir, lui dit-elle, vous vous souvenez de moi ?" Elle lit dans ses yeux qu'il ne sait absolument pas qui elle est, et elle se demande s'il ne va pas prendre la tangente.
Il roule son cigare entre ses lèvres et finit par le sortir de sa bouche. Il se détourne pour faire tomber ses cendres, puis la regarde de nouveau. "Un peu, que je me souviens de vous."
Chapitre 6. Séduction à New York : amoureuse du Boss.